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7 Secrets for Sticking to Your Walking Goal from Leslie Sansone

1. Make your goal doable. If you stick a 3-year-old on a two-wheeler and tell him to ride, he's going to fall off and refuse to get back on for a long time. Make your immediate goal something you know you can do -- if it's just a 10-minute walk, fine. Don't push yourself to the brink of exhaustion. Just do it, and aim to do slightly more every week. Eventually, you'll achieve goals that first seemed beyond you.

2. Get in your face. The best way to do something regularly is to have constant reminders to do it. Have walking shoes at home and at work. Put a chart on your fridge. Check in with your walking tracker every day. Keep your goal in sight.

3. Seek out positive people. If your friends believe that exercise is a waste and are interested in only watching TV or going out for dessert, you're going to be forcing yourself to walk alone. Cultivate new friends, people who like being physically active, and suddenly walking every day gets much easier. Join the RealAge walkers -- talk about positive people!

4. Put it in writing. You can have the best intentions in the world, but a funny thing happens as time passes. You don't want to walk one morning, and then at the end of that week, you've walked five times instead of six or seven, and you tell yourself that's still pretty good. Soon, three times a week is still pretty good, and you don't remember your goal of at least five walks a week. That's why it's vital to write down your goals.
5. Avoid temptation. Whatever your guiltiest habit is, get everything related to it as far from yourself as possible. If your goal is to be fit and eat less junk, the best favor you can do yourself is to clear your house of junk food (be sure to toss these foods, too). Removing temptation does make a difference.

6. Recognize negative thinking patterns. There are a million varieties, but they all come down to the same issue: not existing in the here and now. Things get complicated when your mind starts focusing on the past or future, not the present. Maybe you say, "When I've lost 100 pounds, I'll look good," or "If I had started this a year ago, I'd really see progress now." But these thoughts trick you into ignoring one reality: that anything you do happens one step at a time, starting today.

7. Aim for no slips for 4 weeks. Once you've established a pattern, you can slip now and then and it won't affect your overall success or motivation. But earlier slips interfere with forming a new habit. So for the first month, try extra hard to stick to your goals. If necessary, remind yourself that you will be allowed to deviate eventually. Sticking to something with no slips for 4 weeks is doable; doing it for life with no slips isn't.

Servan-Schreiber: « Mon combat contre la maladie»

"L'invité du dimanche. David Servan-Schreiber publie une nouvelle édition d' «Anticancer».
Servan-Schreiber: « 
Mon combat contre la maladie»
Servan-Schreiber: « Mon combat contre la maladie»
David Servan-Schreiber est psychiatre. Il a écrit plusieurs best-sellers, dont « Guérir », et « Anti-cancer » (Robert Laffont).
LA DÉPÊCHE DU DIMANCHE : Pourquoi avoir révélé que vous avez été atteint d'un cancer ?
David SERVAN-SCHREIBER : Pendant longtemps, je n'en ai pas parlé. Je gardais ma maladie confidentielle. J'ai fini par être convaincu par mes proches qui me disaient que mon expérience, d'autres approches de santé, pouvaient bénéficier à des malades. Et je ne regrette pas de l'avoir fait. J'ai rendu des services.
DDD : Vous avez fait une rechute. Guérit-on d'un cancer, ou bien faut-il continuer à vivre avec cette épée de Damoclès ?
D. S.-S. : Cela dépend des cas. Il y a des petits cancers dépistés tôt et opérés et pour lesquels on obtient parfois des guérisons. Et d'autres cancers qui ne se guérissent pas, ce qui est mon cas avec une tumeur au cerveau. Il faut vivre avec, en renforçant tout ce qui nourrit la vie dans son corps. Il faut tenir la maladie à distance.
DDD : Le nombre de cancers explose dans les pays occidentaux depuis les années 1940. Vous y voyez plusieurs explications. Lesquelles ?
D. S.-S. : Cela vient en partie du vieillissement de la population. De la systématisation du dépistage. Chez les enfants, le cancer progresse de 1 à 1,5 % par an. Il y a aussi des facteurs sociétaux. Comme le bouleversement de notre alimentation, la sédentarité. Avant guerre, les pesticides n'existaient pas ; la généralisation des contaminants chimiques contribue à la progression du cancer. La réduction massive du réseau social, qui est notre principale protection contre les effets négatifs des grandes crises de la vie sur notre corps, influe également beaucoup. Le manque d'exposition au soleil également. Tout cela est arrivé en même temps.
DDD : Vous avez été soigné par les méthodes conventionnelles. En proposez-vous une nouvelle dans notre livre ?
D. S.-S. : Non. L'opération et la chimiothérapie sont nécessaires. Mais il y a la tumeur, et le terrain. La médecine moderne doit s'occuper des deux.
DDD : Précisément. Vous donnez des conseils très précis pour rester en bonne santé : marcher, bien se nourrir. Les aliments de base ?
D. S.-S. : Très simplement, dans nos assiettes, il faut changer les proportions. Plutôt qu'un gros steak, un petit morceau de viande ou de poisson : 20 % de produits animaux, et 80 % de légumes. Les meilleurs légumes sont les choux, l'oignon, l'ail.. J'ajouterai les herbes, le thym, le romarin, le basilic. Je préconise de boire trois tasses de thé vert par jour, en dehors des repas, et d'introduire le curcuma dans son assiette. Le curcuma est l'inflammatoire naturel le plus efficace : un quart de cuillère à café trois par semaine suffit.
DDD : Vous êtes psychiatre. Le moral, dans le combat contre la maladie, cela compte énormément, non ?
D. S.-S. : Bien sûr. Ce sujet est d'ailleurs un chapitre que j'ai entièrement repris dans mon livre pour être très clair. Le stress ne cause pas le cancer, mais on voit que certaines réponses au stress, le désespoir prolongé, interfèrent avec la capacité du corps à se défense, à mieux lutter. Une femme atteinte d'un cancer et qui va être soutenue par un réseau de copines va multiplier ses chances de guérison.
DDD : Pensez-vous que les chercheurs trouveront l'arme absolue contre le cancer ?
D. S.-S. : Non. Il n'y aura pas de traitement miracle. Le cancer, c'est un peu comme le dérèglement climatique : la conclusion ultime d'une mauvaise gestion des ressources. Il va falloir vivre avec, mobiliser les ressources de son corps, l'aider à se détoxifier.
Interview Sabine Bernède

Ses dimanches

Je cuisine avec ma femme. Je vais faire du sport, ou me balader avec elle et les enfants. Et puis j'aime lire dans le canapé du salon, celui appartient normalement au chat.

Son actualité

David Servan-Schreiber est médecin-psychiatre. Il a enseigné à la faculté de médecine de Pittsburg, aux Etats-Unis. C'est là qu'il a découvert qu'il avait un cancer, ce qu'il n'a révélé que récemment. Ses livres, «Guérir», puis «Anticancer», sont devenus des best-sellers mondiaux. David Servan-Schreiber vient de publier une nouvelle édition de son dernier ouvrage. Il vit à Paris, et continue d'enseigner aux Etats-Unis. Il est professeur adjoint au MD Anderson Cancer Center de Houston au Texas."

Fonte e imagem:
http://www.ladepeche.fr/article/2010/03/21/801740-Servan-Schreiber-Mon-combat-contre-la-maladie.html